Les 6 questions qu’on me pose régulièrement sur le métier de décoratrice

Depuis que j’ai lancé ma formation « Bonjour ma nouvelle vie », j’ai des demandes hyper régulières de personnes qui sont intéressées par le métier de décoratrice d’intérieur et qui envisagent de se reconvertir. Au fil du temps, je me suis rendu compte que ce sont quasiment toujours les mêmes questions et préoccupations qui reviennent pour grand nombre d’entre vous. Je me suis donc dit que j’allais compiler les interrogations les plus fréquentes pour y apporter une réponse, en te parlant de mon vécu, de mon expérience personnelle.  Cela peut te concerner si tu envisages de te former au merveilleux métier de décoratrice. Voici les 6 questions qu’on me pose régulièrement sur le métier de décoratrice.

Question n°1 : comment es-tu devenu décoratrice d’intérieur ?

Je vais te raconter un petit peu en détail mon histoire. En effet, je me dis qu’il y a toujours des similitudes dans tous nos parcours, et que ça va peut-être t’aider à franchir le cap de la reconversion professionnelle.

Si moi je l’ai fait, tu peux le faire aussi ! J’espère même que cela va t’inspirer et te donner l’impulsion pour te lancer dans ta passion pour la déco.

Avant d’être décoratrice, j’étais prof d’anglais en région parisienne.  En 2006, on a déménagé au Luxembourg. A ce moment-là, j’ai dû arrêter d’enseigner. Je suis tombée enceinte tout de suite de mon deuxième enfant. Au bout d’environ 1 an ½, 2 ans, même si j’adorais le fait d’être maman, l’être à temps plein ne me convenait plus.

Il fallait vraiment que je me trouve un projet qui m’appartienne, qui ne soit rien qu’à moi. Je ne voulais pas exister uniquement à travers mes enfants.

La passion de la décoration d’intérieur depuis toujours

C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience, notamment en discutant avec mes amis, que j’adorais la déco. J’avais toujours fait de la déco, sans en avoir conscience.  Ado déjà, je me souviens avoir passé des heures à créer un « coin Angleterre » dans ma chambre. C’était dingue, j’étais passionné d’Angleterre. C’est d’ailleurs pour cette raison-là que je suis devenue prof d’anglais par la suite. Je bougeais tout le temps les meubles de place dans ma chambre, je modifiais constamment plein de détails. La décoration faisait déjà pleinement partie de ma vie.  

En chemin vers le métier de décoratrice d’intérieur

En 2009, je me suis donc inscrite à une formation en ligne.  À l’époque c’était par correspondance. Au départ, je n’avais pas l’idée d’en faire un métier.  L’idée première, c’était de me trouver un hobby, une activité qui m’épanouisse.

Petit à petit, je me suis prise au jeu.  J’avais des bonnes notes. Je me sentais bien, hyper motivée, hyper boostée.  Au niveau équilibre personnel, je me sentais vivante.

C’est là que j’ai commencé à me dire qu’il fallait que je me lance d’un point de vue professionnel.

2 ans et demi plus tard, en 2012, j’ai créé mon entreprise au Luxembourg.  Je n’avais jamais fait de stage. Je ne savais pas trop dans quoi je me lançais, mais, j’étais à peu près confortable avec ça. C’était parti !

Question n° 2 : comment as-tu trouvé tes premiers clients ?

En fait, j’ai créé à deux reprises une entreprise de décoration d’intérieur : l’une au Luxembourg et l’autre en Islande. Les deux expériences ont été bien différentes.

Donc je vais te raconter les deux. Cela va peut-être te montrer qu’il y a plusieurs solutions pour trouver des clients et non une seule.

Mes débuts de décoratrice d’intérieur au Luxembourg

Première étape : la création de mon site internet

Au mois de juin et juillet 2012, je crée mon site internet. Dans la foulée, je me rends à la Chambre des métiers. Et là, je me rends compte qu’ils ne connaissent pas ce métier au Luxembourg.

Ils pensent que je suis décoratrice en tapisserie ou peintre décorateur. Ils n’ont jamais entendu parler du métier de décorateur. C’est certainement ce qui m’a aidée d’être la première. Ma concurrence c’étaient uniquement des architectes d’intérieur, alors qu’il y avait une vraie demande à ce niveau-là.  

D’ailleurs, les évènements s’enchainent à une vitesse folle. Dès septembre, je reçois un premier e-mail de quelqu’un d’intéressé. C’est mon premier client, mon premier projet. Je me souviens qu’il s’agissait d’un tout petit projet : une petite salle de jeux d’enfant en sous-sol.  Mais inutile de te dire que j’étais aux anges !

Deuxième étape : passage à l’action

Je suis rentrée en contact avec une autre décoratrice, qui venait également de se lancer. On s’est dit qu’au lieu de se voir comme concurrentes, on allait unir nos forces et se soutenir mutuellement. 

Inscription au salon de l’habitat

On a pris un stand de 9 m² à l’occasion d’un salon sur l’habitat au Luxembourg.  C’était le plus petit format possible, mais on avait zéro budget. (Forcément au début, on n’a pas la possibilité d’investir gros).

Pourtant, ces 5 jours d’exposition nous ont complètement lancées. On a été au-devant des clients, on a fait de belles rencontres. Et surtout, grâce à cet évènement, nous avons décroché nos premiers vrais gros projets et clients (de mémoire, 5 ou 6).

Par la suite, je n’ai pas vraiment eu besoin de prospecter.  Le bouche-à-oreille était enclenché.

La mise en place des apéros déco

2e action que l’on a mise en place avec cette décoratrice : les apéros déco. On organisait des soirées, autour d’un thème, chez des fournisseurs ou dans des boutiques.

Par exemple :  

  • chez un cuisiniste, on avait fait une soirée autour de la décoration et l’aménagement des cuisines.  
  • chez un fournisseur de papier peint, on avait organisé des mini conférences avec plein de conseils pour les clientes autour du papier peint.

Cela fonctionnait très bien. Il est important de créer du lien. Ne reste pas seul à tes débuts. N’aie pas peur de la concurrence. Elle existe, c’est certain, mais je pense que l’important c’est de joindre nos forces, nos énergies. Cette entraide avec l’autre décoratrice m’a aidée à me constituer un réseau.  Elle a bénéficié du mien et inversement.  Ça a été vraiment du gagnant-gagnant pour nous deux.

Quant aux fournisseurs et aux magasins, ils étaient ravis de participer à ce genre de prestation. C’était positif pour tout le monde.

  • Ose participer à des événements, ce sont vraiment les meilleurs endroits pour rencontrer tes éventuels clients
  • Ose investir (même si au début tu n’as pas beaucoup de budget).
  • Va à la rencontre des clients, à la rencontre de tes prospects
  • Fais-toi connaître

Mon business de décoration d’intérieur en Islande

Mon expérience en tant que décoratrice en Islande a été assez différente. Je suis arrivée dans un pays où je ne connaissais personne, et où strictement personne ne me connaissait.

Je ne parlais pas l’islandais (je l’ai un petit peu appris au fur et à mesure). Tout le monde parle anglais, heureusement, donc je pouvais communiquer. Mais c’était une première difficulté de ne pas maîtriser la langue locale.

Autre difficulté supplémentaire, mon business model en Islande n’était pas du tout le même qu’au Luxembourg.   Au Luxembourg, j’avais créé une agence de décoratrice d’intérieur. En Islande, j’avais envie de quelque chose de complètement différent.

L’ouverture d’un showroom

J’ai décidé d’ouvrir une boutique showroomj’exposais des marques partenaires que j’adore comme Ligne Roset ou Élitis.

J’ai sélectionné une douzaine de marques, quelque chose comme ça, que j’exposais dans le showroom et que je mettais en scène : des papiers peints, des tissus, des luminaires, une matériauthèque. L’ensemble étant aménagé comme dans un salon. J’ai pris un espace en plein centre de Reykjavik.  

Si je dois résumer ce choix de business model, il y a eu des réussites et de vraies grosses difficultés. Certains aspects ne me convenaient pas, dont j’aurai certainement l’occasion de reparler plus tard. En revanche, le côté positif c’est que le fait de choisir un local en plein centre m’a fait connaître. Les gens passaient devant, poussaient la porte de la boutique. Et j’ai même fait l’objet d’articles de journaux. 😊

Les articles dans la presse locale

Il y a eu des articles de magazine sur moi, la petite « frenchy » qui débarque en Islande avec sa french touch. Cela a suscité beaucoup de curiosité et les gens étaient très enthousiastes à l’idée de raconter, de lire pourquoi notre famille avait débarqué ici, notre histoire.

Cela m’a aussi amené mes premiers clients.  Je sortais un petit peu des tendances purement islandaises. J’avais une autre sensibilité, et cela a fait venir les clients à moi.  

La communication sur les réseaux sociaux

Une autre action que j’ai mise en place, qui peut être très intéressante pour toi en fonction de ta situation géographique : c’est de travailler sur les réseaux sociaux.

J’ai passé beaucoup de temps sur Instagram et sur Facebook pour communiquer sur mon activité.  J’ai fait des conférences, j’ai créé mon premier podcast. Toutes ces actions de communication m’ont pas mal aidée à me faire connaître et à trouver des nouveaux clients.

Question n°3 : y a-t-il une routine dans le métier de décoratrice d’intérieur ?

Oui. Comme dans tout métier.

Il y a des tâches récurrentes plutôt rébarbatives.  En ce qui me concerne, ce que je ne trouve pas très épanouissant, ni agréable à gérer, c’est tout ce qui est administratif. Les factures, la comptabilité, la gestion de la paperasse. Heureusement, j’ai un mari qui travaille dans les finances, donc il a toujours su m’aider à ce niveau-là 😊.

C’est vraiment la partie routinière qui ne m’amuse pas trop.

En revanche, je trouve que le métier de décoratrice d’intérieur en lui-même n’est pas un métier de routine. Tous les clients sont différents, chaque projet est unique. La créativité, elle, est toujours au rendez-vous. C’est à toi de te renouveler, d’aller chercher des nouveautés.

N’hésite pas à développer sans cesse ta curiosité, à découvrir de nouvelles marques, de nouveaux fournisseurs. C’est ce qui va nourrir ton esprit créatif.

Mais, l’idée de ce témoignage n’est pas de t’envoyer du rêve coûte que coûte. Pour être très transparente, c’est vrai qu’au bout de 10 ans d’activité en tant que décoratrice d’intérieur, je trouve malgré tout que certaines demandes deviennent très similaires. Je pense notamment aux salons.  J’ai beaucoup de demandes pour refaire cet espace de vie.

Et c’est vrai qu’au bout de quelques années, c’est le genre de demande qui m’amuse un peu moins.  Je ressens l’impression d’une certaine routine dans ce type de demande. C’est un peu dur d’être toujours créatif quand on a vraiment des projets très semblables.

Fort heureusement, je reçois beaucoup de demandes plus originales, plus diversifiées qui sortent du lot. (Par exemple, avant de partir d’Islande, j’ai aménagé une cave à vin. C’était super fun). Finalement, il y a toujours de la nouveauté et de nouveaux terrains à explorer.

Question n°4 : est-ce que tu réussis à vivre du métier de décoratrice ?

C’est une question bien légitime. J’imagine que si tu envisages de te former à la décoration d’intérieur, ce n’est pas pour en faire un simple hobby. Tu souhaites en faire un business et gagner ta vie en exerçant une passion.

Comme je te l’ai expliqué, j’ai eu deux business models différents : celui au Luxembourg et celui en Islande.

Le business model en Islande

En Islande, avec le showroom, j’avais beaucoup de charges (notamment un loyer à payer de 2000 €) sans compter quelques frais annexes.  En même temps, il me suffisait de vendre un canapé pour que je rentre tout de suite dans mes frais. Finalement, cela a été assez facile d’équilibrer mon budget.

A cela, est venu se greffer le covid. Les deux années de pandémie ont été difficiles. Mon principal fournisseur, ligne Roset, avec lequel j’avais l’exclusivité en Islande, a rencontré de grosses difficultés de production. Pourtant, malgré quelques zones de turbulences, j’ai réussi et mon activité a fonctionné.

Du fait que j’étais française, j’ai suscité l’enthousiasme et l’intérêt. J’avais un savoir-faire, un certain chic à la française d’un point de vue international. (C’est toujours comme ça qu’on projette les Français).   Donc, malgré les hauts et les bas, ça a marché.  Et, oui, j’en ai vécu sans aucun problème.

Le business model au Luxembourg

Au Luxembourg, j’ai eu des projets très vite. Rapidement, j’ai pu gagner ma vie.

Le seul bémol pour être très transparente, c’est que c’était l’équivalent d’un mi-temps. À ce moment-là, mes enfants étaient en bas âge, et je passais 16 semaines de vacances avec eux.  J’étais présente à toutes les sorties d’école, les mardis et jeudis après-midi, car il n’y a pas cours au Luxembourg…bref, je ne travaillais pas à temps complet.

Et mon erreur au début, a été que mes revenus ne comprenaient que mes prestations de service et de conseils. Ce n’est qu’au bout de quelques années que j’ai osé faire de la vente de mobilier, de luminaires, etc.   Ça a été la clé pour mon business : l’achat-revente. Le chiffre d’affaires a explosé.  Ça devenait vraiment tout à fait facile d’en vivre très confortablement.

Mes conseils avant de lancer ton activité de décoratrice

Si tu es maman de plusieurs enfants, le fait d’en vivre dépendra du nombre d’heures que tu consacres à ton activité. 

  • N’hésite pas à étudier précisément ton business model.
  • Combien d’heures peux-tu dédier à ton activité ?
  • Souhaites-tu avoir un showroom ou pas ?
  • Quelles seront tes prestations ?
  • Quels seront tes tarifs ?

Autre point important à avoir en tête, cela t’aidera à définir quel train de vie tu souhaites avoir : Toute création d’entreprise demande de la patience. Rien n’arrive en un claquement de doigts. Le lancement peut prendre du temps.

On voit sur les réseaux sociaux des stories complètements déconnectées de la réalité. Non, le commun des mortels ne vit pas de son activité dès les premiers mois :  c’est mensonger de le dire. Cela va prendre un petit peu de temps, mais il y a plein de façons d’y accéder sans aucun souci.

5e question : qu’est-ce que tu aimes le plus et le moins dans ton métier ?

Ce que j’aime le plus en tant que décoratrice :

  • J’adore l’idée d’apporter du bien-être à mes clients. J’aime l’idée que grâce à moi, ils se sentent heureux chez eux. Il y a toujours un avant et un après mon intervention. C’est un plaisir de voir leur enthousiasme en découvrant les métamorphoses de leur intérieur, et d’être remercié pour ça. C’est vraiment gratifiant.
  • J’apprécie de passer du temps avec mes clients, d’être à leur écoute, d’échanger.
  • J’aime travailler le beau. Les beaux tissus, les beaux papiers-peints, les beaux luminaires, les belles matières… Le beau en général.
  • J’affectionne également la relation avec les fournisseurs et encore plus les artisans. J’ai toujours un énorme plaisir à échanger avec eux. J’adore être sur un chantier, résoudre des problèmes avec eux, échanger sur la faisabilité d’une idée et qu’ils me suivent dans des idées farfelues. Ce sont des relations très riches. Je suis d’ailleurs devenue amie avec certains artisans
  • Et ce que j’aime par-dessus-tout, c’est la créativité qu’offre ce métier. Il y a des possibilités infinies donc pas d’ennui. 😊  

Ce que j’aime le moins en tant que décoratrice :

  • Tu l’as compris, je n’aime pas trop le côté administratif, la comptabilité, la gestion des livraisons. Cela représente beaucoup de paperasse, de suivi. Cela contraint à être assez carrée, assez rigoureuse.  Ce n’est pas hyper naturel chez moi, il faut toujours que je me force à être très organisée. Ce n’est pas ma zone de talent initial.
  • Ce que j’aime le moins dans mon métier, c’est la gestion des clients difficiles. Heureusement, il y en a peu. Mais cela peut arriver. Je dirais qu’il y en a un par an. Celui qui remet tout en cause, avec lequel le projet n’est pas fluide, la relation a du mal à s’instaurer.  J’en ai déjà eu un malhonnête qui a refusé de payer le solde de la prestation. Ça existe. Par chance, c’est complètement compensé par les autres clients, qui, dans l’ensemble sont adorables et ravis du résultat.

Question n°6 : est-ce que tu ne te sens pas trop seule dans ton métier ?

C’est une question qui revient très souvent.

Spontanément, je réponds que je ne me sens pas du tout seule. Tout simplement, parce que j’ai toujours fait attention à bien m’entourer. Notamment au début, avec mes copines décoratrices. Maintenant, après 10 ans, j’en ai moins besoin, je me sens plus à l’aise.

Mais au début, j’échangeais énormément avec d’autres décoratrices. On échangeait beaucoup sur nos devis, notre tarification. On s’envoyait nos planches d’ambiance pour se les critiquer mutuellement afin d’amener nos projets vers quelque chose de mieux.  Pour aller au maximum de nos possibilités.  

L’importance de l’entourage et du contact

Clairement, le fait d’être très entourée de copines décoratrices fait que je me sens jamais seule dans la pratique du métier.

Et puis honnêtement, je suis souvent en vadrouille. Il y a très peu de journées où je n’ai pas de rendez-vous chez un client, dans un showroom, chez un fournisseur ou une visite de chantier.

Le métier de décoratrice d’intérieur est un métier de contact, très sociable. On rencontre beaucoup de monde. Pour être décoratrice, il faut aimer les êtres humains. Sinon ce n’est pas la peine de se lancer dans ce métier.

Bien sûr, ça m’est arrivé de me sentir seule au quotidien, notamment face à certaines décisions à prendre. Parfois, on a besoin de faire évoluer son business. On se pose des questions comme tout chef d’entreprise.  Mais dans mon cas personnel, j’ai un mari avec qui je partage beaucoup de mes décisions. Il me challenge aussi pas mal et m’aide à y voir plus clair. Il n’a pas peur de me dire mes quatre vérités ou au contraire de me pousser à aller plus loin.

Le plaisir du travail en équipe

Je dois dire que ma plus belle année en 10 ans d’exercice, c’est celle où j’ai eu une stagiaire avec moi, Sarah. Entre nous deux ça a été une telle évidence. Je me suis rendu compte que le fait d’avoir quelqu’un au quotidien avec moi a été une vraie source d’épanouissement.

Cette complicité au boulot, travailler en équipe a été un vrai plaisir.

J’ai adoré. 5 ou 6 ans après, nous sommes toujours aussi amies.

Dis-toi que travailler avec quelqu’un, prendre un stagiaire ou embaucher, cela peut être une autre étape quand ton business grossit.  Beaucoup de décoratrices y parviennent. Pas les premières années, c’est sûr. Mais avec le temps et de nouveaux besoins, c’est possible. C’est en perpétuelle évolution.

Voilà les questions les plus fréquentes que l’on me pose sur le métier de décoratrice. J’espère que cela t’aura inspiré.

Retrouve cette thématique sur mon podcast #1 

Si tu souhaites avoir plus d’informations sur ma formation « Bonjour ma nouvelle vie », ou si tu as d’autres interrogations, n’hésite pas à me contacter. Je serai ravie d’y répondre.

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