12 leçons apprises au cours de mes 12 années d’entrepreneuriat

J’ai créé mon tout premier business il y a 12 ans. Eh oui, 12 ans déjà. 12 années au cours desquelles j’ai développé 3 business différents les uns des autres.  3 business dans 3 pays différents. Au final, cela représente beaucoup de challenges, beaucoup de doutes, pas mal d’erreurs, mais aussi beaucoup de réussites bien sûr ! Au fil de ces années, j’ai énormément appris sur l’entrepreneuriat, mais aussi sur moi-même et j’en ai tiré des leçons importantes. Alors, je me suis dit que, pour cette date anniversaire, j’avais envie de partager avec toi les 12 leçons apprises au cours de mes 12 années d’entrepreneuriat.

Leçon n°1 : Ne pas avoir peur de la concurrence

Si cela fait partie de tes craintes en tant que toute jeune décoratrice, je t’assure qu’il n’y a vraiment aucune raison d’avoir peur, ni de s’’inquiéter de la concurrence. Et je t’explique pourquoi.

Lorsque j’ai démarré mon activité au Luxembourg, je n’avais rien. Aucun contact, aucun carnet d’adresse. Je partais de zéro.

La première action forte que j’ai réalisée a été de partager un stand sur un salon de l’habitat avec une autre décoratrice d’intérieur.  

J’aurais pu avoir peur d’elle et me dire qu’elle allait me faire de l’ombre : elle avait un peu plus d’expérience que moi, et un bien meilleur réseau. Et pourtant, on a décidé de lier nos forces, de mettre en commun nos idées.

Comprendre l’unicité de chaque décoratrice

Au lieu d’être en concurrence, on a choisi de surfer sur nos différences.  On était pleinement conscientes que chacune de nous était unique, qu’on avait des personnalités totalement différentes.

Elle était plus branchée par les rénovations, les gros travaux. De mon côté, j’étais beaucoup plus axée sur la déco et les couleurs. Nous étions différentes sur tout : notre façon de parler, de bouger, de nous exprimer, notre style…tout.

On s’est profondément respectées l’une et l’autre dans nos différences, et cela a très bien fonctionné. À l’issue de ce salon, on a réussi à se partager les clients de façon évidente. Naturellement on s’est dit : « ce client-là, il est plus pour toi, ça fait plus de sens. ». C’était d’une logique flagrante. Chacune en est ressortie gagnante.

On peut être partenaires et non concurrentes

Pendant plusieurs années, on a continué à collaborer, à s’entraider, à créer des projets et des événements en commun.

Je sais que beaucoup ont peur de la concurrence. Mais si tu trouves quelqu’un ouvert d’esprit, qui ne craint pas de collaborer avec quelqu’un d’autre, avec qui tu entretiens une relation saine et équilibrée, fonce !  

L’expérience avec cette décoratrice m’a appris que cette concurrence n’avait pas de raison d’être. On était plus des partenaires que des concurrentes.  

Cultive l’élément qui te différencie des autres

Cette fois, je vais prendre comme exemple mon expérience en Islande. Là-bas, les décoratrices étaient vraiment très différentes de moi. Elles utilisaient presque toutes les mêmes matériaux et des gammes chromatiques dans les tons de beige, gris, noir, blanc…

J’aurais pu me fonde dans le moule de peur de ne pas plaire aux clients. Eh bien non.  J’ai décidé de prendre le contre-pied et j’ai complètement assumé mon positionnement et mon amour pour la couleur.

J’annonçais clairement au client que s’ils voulaient du noir et blanc pour leur intérieur (sous-entendu ce que font les autres) ce n’était pas la peine de m’appeler. Evidemment je n’étais pas aussi cash, mais c’est le message que je laissais passer. 😊

En général, les clients qui faisaient appel à moi me disaient : « enfin quelqu’un qui met des couleurs ! ». C’est ce qui les séduisait. C’est ce qu’ils recherchaient en faisant appel à moi.

J’ai tout simplement accepté de ne pas plaire à tout le monde, de me différencier et de rester fidèle à ce qui me faisait kiffer. Pour attirer les bons clients.

Leçon n°2 : Avoir le droit de douter en tant qu’entrepreneure

C’est OK de douter, de ne pas toujours savoir où tu vas.

Très clairement, il y a eu des moments où j’avais une vision assez claire de mon business. Et parfois, (le plus souvent d’ailleurs) pas du tout. Et avec du recul, je me rends compte que ce n’était pas si grave que ça.  

Je ne suis pas en train de te dire que ça ne sert à rien d’avoir une vision. Evidemment, c’est quand même mieux de savoir quelle est ta stratégie, ton fil conducteur et de ne pas naviguer à l’aveugle totalement.

Je veux simplement dire que c’est ok de ne pas être toujours sûre de la direction que tu as choisi de prendre, d’être un peu dans le flou. Ce n’est pas ce qui fait de toi une mauvaise décoratrice d’intérieur et une mauvaise entrepreneure.

C’est simplement une étape dans ton business. Les choses vont s’éclaircir, et tu vas pouvoir te fixer des objectifs plus précis au gré du temps.

Leçon n°3 :  Se découvrir des ressources insoupçonnées

Franchement, quand je me suis lancée il y a 12 ans, je n’aurais jamais imaginé avoir autant de ressources en moi.  C’est vraiment quelque chose que la vie entrepreneuriale m’a appris.

Aujourd’hui, si je devais repartir de zéro et tout recommencer, je sais que j’y arriverais. Je connais ma capacité à rebondir.  A l’époque, je ne savais pas cela de moi.

Au moment de la pandémie notamment. J’ai dû opérer des changements radicaux dans mon business en très peu de temps. Cela m’a prouvé que je savais me challenger, que je pouvais comprendre le contexte économique et m’adapter rapidement.  

Aujourd’hui, je sais que je suis le moteur qui génère mes propres ressources et que je peux imaginer mes propres solutions.  Si c’est vrai pour moi, évidemment, ce sera vrai pour toi aussi.

Ne jamais se sous-estimer

On a beaucoup trop tendance, je trouve, à sous-estimer notre pouvoir, notre résilience, notre capacité d’adaptation, nos bonnes idées. Souvent, c’est juste parce qu’on ne s’autorise pas à tenter les choses. On ne prend pas le risque d’échouer.

Alors que le plus grave, ce n’est pas d’échouer, c’est de ne rien faire, d’être dans l’immobilisme.  Ne jamais rien faire, ça crée des traumatismes.

A contrario, les fois où je me suis plantée, eh bien, j’ai toujours rebondi derrière. J’ai essayé, ça n’a pas fonctionné. OK, j’essaie autre chose qui fonctionnera peut-être.

Le pourcentage de chances d’y arriver est toujours plus grand qu’en n’osant rien.  

Savoir prendre des risques

J’ai aussi appris qu’éviter à tout prix de prendre des risques, n’est pas une bonne réponse.

Je me souviens qu’au Luxembourg, j’ai eu besoin déléguer car c’était trop difficile de gérer tout toute seule. Ça m’a pris beaucoup de temps de me décider à le faire. J’avais vraiment une peur énorme. Et pourtant, au final, ça a été la plus belle expérience de ma vie. Pendant un an, j’ai eu quelqu’un avec moi et c’était super chouette. Cela reste un souvenir professionnel génial.

Donc voilà, ne sous-estime jamais les choses que tu peux mettre en place. Ne te dévalorise pas. Fais toi confiance.

La question à se poser n’est pas : est-ce que je peux le faire ? Mais plutôt : quand est-ce que je vais le faire ? et comment je vais le faire ?

Je sais bien que c’est loin d’être aussi facile, mais n’empêche qu’en 12 ans d’entrepreneuriat, j’ai eu la preuve que c’est comme cela qu’il faut envisager tes actions. Quand je voulais quelque chose très fort, j’ai toujours réussi à le faire en me posant ces questions-là.

Leçon n°4 : le métier de décoratrice demande un vrai sens du relationnel

En effet, le métier de décoratrice d’intérieur, c’est beaucoup de relationnel. Ce sont avant tout de belles histoires humaines.

J’ai longtemps cru que pour être une bonne décoratrice d’intérieur, il fallait que je sois avant tout une experte. Je pensais qu’il fallait que je sois incollable et que je maîtrise tout sur le bout des doigts. D’où le fameux syndrome de l’imposteur à mes débuts.

Alors que ce n’est pas tout ce qui compte le plus.

Bien sûr, il faut être compétent, avoir une formation et des connaissances que l’on maîtrise. Mais pour moi, ce qui fait qu’on réussit en tant que décoratrice, ce sont nos valeurs humaines. C’est la relation qu’on tisse avec le client c’est tout notre savoir-être qui vient en plus de nos compétences professionnelles.

Je me dis que si ta relation avec les clients est bonne, si elle est honnête, si elle se fait en toute confiance, ton client excusera toujours un manquement. Il sera toujours plus compréhensif si tu fais une erreur ou s’il y a un problème à gérer.

Le client te choisit toi pour ta personnalité & tes valeurs

C’est pour cela que cette relation avec le client est aussi importante. Le client nous choisit nous individuellement plutôt qu’une autre décoratrice d’intérieur.

Honnêtement, je ne pense vraiment pas qu’un client nous choisisse uniquement pour un tarif.

Alors, cela va quand même pencher dans la balance, le style aussi. Mais avant tout, il nous choisit pour qui on est en tant que personne. Pour la relation qu’il va avoir envie de vivre avec nous.

Donc si tu doutes de ta légitimité, reviens à tes valeurs humaines et à ce que tu peux vraiment apporter à un client. Repense peut-être aussi à ton précédent métier.

Moi, j’ai repensé à l’époque où j’étais prof d’anglais. Pourquoi étais-je une bonne prof ? Parce que j’avais une belle relation avec mes élèves.  Je savais les mettre en confiance, les rassurer, leur expliquer plein de notions simplement.  

C’est pareil en tant déco. C’est une relation de qualité avec mes clients qui a fait de moi une bonne décoratrice.

Leçon n°5 : l’entrepreneuriat ce n’est pas que de la liberté

Être décoratrice et entrepreneuse, c’est beaucoup de liberté, mais pas que.

Beaucoup de liberté parce qu’effectivement, je n’ai pas de contraintes horaires. Je prends mes vacances quand je le décide.  Lorsque mes enfants étaient petits, je pouvais annuler mes rdvs lorsqu’ils étaient malades.  J’ai participé à toutes les sorties d’école, je pouvais décider de ne les mettre que 2 jours /semaine à la crèche…

Je pouvais bosser les weekends si ça m’arrangeait. Rester en pyjama si j’en avais envie.  De façon encore plus flagrante, j’ai pu changer de pays quand je le souhaitais parce que j’avais cette liberté et que je n’avais aucun compte à rendre à qui que ce soit.

Mais, il y a toujours un revers à la médaille et je l’ai découvert à mes dépens.

Attention à ne pas devenir ta pire boss

Sous couvert de cette liberté, je me suis aussi mis beaucoup de pression.   J’ai frôlé plusieurs fois le surmenage par ce que je n’avais pas l’obligation de m’arrêter.

J’ai toujours vibré à fond pour mes business et j’ai toujours trouvé très dur de fermer la porte de mon bureau et d’éteindre mon ordinateur.

Même 12 ans plus tard, j’ai beau avoir appris la leçon, intellectualisé tout ça, je dois être vigilante. Pour être honnête, je suis toujours en apprentissage sur ce sujet-là. C’est toujours un point de fragilité chez moi et je me surveille en permanence.

Alors un petit conseil. Missionne ton mari, tes amies, tes enfants pour te rappeler à l’ordre quand tu travailles trop et te servir de garde-fou.

Ecoute les messages de ton corps pour que tu ne deviennes pas ta pire boss et que sous couvert de liberté, ton business ne devienne une prison de laquelle tu ne saches plus t’échapper.

Leçon n°6 : Lance toi sans attendre d’être sûre de tout

C’est vraiment une leçon importante que j’ai retenue. Je sais à quel point on peut avoir peur de se lancer et se dire que tant qu’on ne maîtrise pas tout, il vaut mieux attendre… Et pourtant, il faut oser.

J’aime beaucoup l’expression « mieux vaut fait que parfait » ou encore « saute et le filet se construira ». J’en ai fait l’expérience.

L’exemple le plus marquant de ma vie a été mon déménagement en Islande.

Avec mon mari, on a tout plaqué. Honnêtement, très peu de choses étaient sécurisées. A part le fait qu’on avait une maison, des écoles pour les enfants et un peu d’argent de côté. Pour le reste, on ne savait pas où on allait, ce qu’on allait faire professionnellement, pas de relations, on n’avait rien.

D’ailleurs, on s’est souvent dit que si on avait su par quoi on passerait (tous les états d’âme, toutes les difficultés, tous les doutes) on ne l’aurait jamais fait.

On ne peut pas tout sécuriser à 100 %

La leçon que je retiens de tout ça, c’est de ne pas chercher à tout sécuriser à 100 %. C’est impossible. Evidemment, Il ne s’agit pas de foncer bêtement tête baissée. On ne peut pas faire n’importe quoi, à fortiori quand on a des enfants. Et puis, il y a toujours des factures à payer à la fin du mois. Mais si tu as sécurisé déjà 10 ou 20 % du projet, lance-toi.

Je me rends compte que c’est parce que j’ai osé me lancer, en ayant assez peu de certitudes, que j’ai vécu les plus belles aventures entrepreneuriales.

Leçon n° 7 : Un business est en constante évolution

Rien n’est figé dans le marbre. Tout ce que je fais, change en permanence : mes offres, mes projets, ma façon de travailler.

Alors oui, j’ai des templates de devis, de factures. J’en ai aussi pour mes études chromatiques. Mais la vérité, c’est que ma façon de travailler et de présenter mes projets changent hyper souvent.

A certains moments, j’ai cru que je tenais une réponse. J’avais la conviction que plus jamais je ne changerais mes offres, mes textes sur mon site internet, ma façon procéder, ma façon de présenter. Alors qu’en fait, ça ne s’est pas du tout passé comme ça.

Mon business n’a jamais cessé d’évoluer. En 12 ans, j’ai compris que rien n’est définitif.

Dis-toi que tout ce que tu mets en place aujourd’hui, c’est la meilleure réponse à T0. Mais tu vas évoluer. Tu vas apprendre. Tu vas être influencée par tout ce qui se passe autour de toi.

C’est plutôt bon signe. Cela veut dire que tu grandis avec ton business, que tu évolues avec lui.

Leçon n° 8 :  Ne pas baisser les bras à la moindre difficulté

 Je ne baisse jamais les bras, même si les résultats ne sont pas ceux que j’espérais.

Prenons comme exemple Instagram. Souvent, je me dis que c’est pénible de poster régulièrement, de se creuser la tête pour trouver des idées, d’avoir le sentiment d’avoir des résultats moyens malgré tous les efforts fournis….

Et pourtant, je sais maintenant que les résultats arrivent au moment où je m’y attends le moins.

On passe forcément par des périodes creuses, des moments où le téléphone ne sonne plus. Mais rien n’est définitif. A partir du moment où l’on est dans l’action, ça ne dure pas dans le négatif.

Les graines que l’on a semées finissent par germer.

On est sur un marathon et pas un sprint. Alors ne renonce pas si vite. On ne s’arrête pas à la première déconfiture

Leçon n°9 :  Continuer à se former

Au cours des 12 années, j’ai toujours continué à me former, à apprendre, à me challenger.  

J’ai toujours su que j’aimais beaucoup les couleurs.  A mes débuts, je pensais que ce que j’avais appris avec ma première formation suffirait. Et puis non.  Ce n’était pas du tout assez précis. J’ai fait une formation de coloriste qui a totalement changé mon approche des couleurs. J’y ai acquis une véritable expertise.

Plus récemment, je me suis formée en marketing et en communication.  J’ai appris ce qu’était un freebie, comment faire des tunnels de vente… Je suis sans arrêt en train de me documenter.

J’essaie de rester à l’écoute sur ce que font les autres entrepreneur(e)s (pas forcément les autres décoratrices d’intérieur d’ailleurs). J’écoute ce que font les autres, je prends des notes et après j’essaye potentiellement de tester moi-même. Cela m’inspire énormément.  

Ne te repose pas sur tes lauriers. Continue d’être curieuse.

D’ailleurs, si tu veux te perfectionner sur un sujet en particulier en lien avec le métier de décoratrice, je t’invite à regarder les mini-formations que je propose. Elles te permettent de venir travailler en mode express un point que tu ne maîtrises pas en déco.

Leçon n°10 :  Parler de soi tous les jours

Dis comme ça, ça peut paraître un peu égocentré. Mais tu vas comprendre.

En 12 ans, j’ai compris que je devais dire aux autres ce que je faisais et au plus de personnes possibles. Il faut le faire avec ta personnalité, évidemment, de façon très respectueuse de tes valeurs, de ton éthique, mais c’est ce qui fonctionne vraiment.  

Au début, je n’osais pas vraiment dire que j’étais décoratrice d’intérieur. Je ne voulais pas me mettre en avant quand j’allais quelque part. J’ai dû me faire un peu violence, mais en fait, on n’a pas vraiment le choix.

Il faut mettre sa timidité sous le tapis.

Au début c’est très inconfortable, mais ça vient peu à peu. Comment veux-tu que les gens devinent ce que tu fais, quels sont tes services si tu n’en parles pas ? Tu dois communiquer sur ton business pour qu’il existe.

Leçon n°11 :  La confiance en soi grandit avec le temps

J’ai compris aussi que la confiance en moi grandissait grâce aux actions que je mettais en place.

En fait, j’ai longtemps cru que la confiance en moi allait venir naturellement. Et qu’ainsi je pourrais passer à l’action. Alors que c’est l’inverse. C’est le fait de passer à l’action qui m’a aidée à prendre confiance en moi.

Même aujourd’hui, lorsque je lance un projet, alors que je n’ai pas à 100 % confiance en moi, c’est l’action qui fait que la confiance arrive et grandit.

Par exemple les séances de Codev (Codéveloppement) que je propose. J’ai travaillé énormément sur le sujet. Je me suis beaucoup documentée. J’ai participé à des séances. Mais la vérité, c’est que le groupe de Codev me fait encore progresser et qu’aujourd’hui, ça serait malhonnête de dire que je suis sûre de tout ce que je fais à 100 % lié au Codev.

J’ai accepté que j’allais moi-même continuer à apprendre avec le groupe et que c’est l’intelligence des autres qui va continuer à me faire progresser moi.

Leçon n°12 : on ne dégomme jamais complètement son syndrome de l’imposteur

Lorsque je me suis lancée dans la déco, mon syndrome de l’imposteur était très fort.  Aujourd’hui, je sais le calmer, l’adoucir, mais malgré tout, il est toujours un peu là.

Je ne peux pas le faire disparaître d’un coup de baguette magique. Il peut revenir au galop à tout moment s’il y a un projet qui est plus challengeant qu’un autre.

Et j’ai compris que c’est en entreprenant toujours plus, que je vais le dégommer.

La leçon à retenir, c’est qu’il faut se lancer même quand on a peur, même quand on doute. Personne ne réussit sans peur, sans erreur, sans échec, sans se planter, sans avoir un client insatisfait.

Il faut accepter de se sentir inconfortable parfois, car à la fin, on est quand même très fièr(e)s

Voilà, j’espère que ces 12 leçons apprises au cours de mes 12 années d’entrepreneuriat t’auront inspirée dans ton approche du métier de décoratrice. Si tu as envie de me poser d’autres questions, tu peux me contacter je serai absolument ravie d’y répondre.

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